Namasté ! Yoga au travail, une nouvelle tendance qui fait du bien

Pratiquer le yoga permet d’être plus concentré et plus efficace, de mieux gérer son stress et ses émotions, d’acquérir de la confiance en soi et d’améliorer ses relations aux autres, c’est ce que révèlent de nombreuses études dont celle de la sérieuse Harvard Medical School. Alors,  pourquoi ne pas le pratiquer au bureau ?

Il est maintenant possible d’assister à des cours entre collègues, comme le propose Yogist, qui se définit comme spécialiste du yoga corporate avec une méthode brevetée, spécialement conçue pour le monde de l’entreprise.

Selon sa créatrice Anne-Charlotte Vuccino, le yoga est totalement recommandé au monde professionnel.

“L’être humain n’est pas fait pour être assis, au bureau on l’est plus de 6h par jour, ce qui entraîne mauvaises postures et problèmes de dos”, explique-t-elle. Ses cours permettent de régler ces inconvénients et de prendre conscience de sa respiration grâce à la méditation. « Et un salarié qui respire mieux, sera moins souvent malade, moins stressé et plus volontaire », ajoute-elle.

Pratiquer le yoga avant le travail

Vous connaissiez l’ « after-work » ? Voici le « before-work », un nouveau phénomène venu de New York qui part à la conquête de toutes les villes branchées.

On enchaîne yoga matinal dès 6h30 et ateliers antistress pour se booster ou se relaxer et ainsi insuffler une dynamique nouvelle dans sa vie professionnelle.

Newake, est un mouvement qui cultive la possibilité de vivre une vie professionnelle sereine et excitante ainsi qu’une vie personnelle épanouie. Son slogan : réussir sa vie pro sans sacrifier son bien-être au quotidien.

Sa mission est de partager avec une communauté de femmes les moyens de développer leur potentiel professionnel et de vivre une vie épanouie, en leur donnant des options et des idées à intégrer dans leur quotidien, en commençant par une séance de yoga.

Alors, before ou after work, on s’y met ?


Pour Convergence
Pascale Landriq


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L’Afem (Association des femmes entrepreneurs au Maroc), porte-drapeau des cheffes d’entreprise du Maroc.

Depuis sa création en 2000, l’Association des femmes entrepreneurs du Maroc (Afem) soutient les femmes marocaines dans la création et le développement de leur entreprise, notamment via l’installation d’incubateurs.
                        Leur slogan :
                                               Seules, nous sommes invisibles.
                                               Ensemble, nous sommes invincibles!

Les principales missions de l’Afem :

  • Promotion de l’entreprenariat féminin au Maroc.
  • Encadrement et soutien de la femme entrepreneur dans l’action de développement de son entreprise
  • Actions en faveur de la création d’entreprises par les femmes au Maroc.
  • Promotion de l’image de la femme chef d’entreprise au Maroc et à l’étranger.
  • Représentation de la femme chef d’entreprise au niveau des cercles de décision, dans les conseils d’administration des institutions publiques et privées nationales et internationales.

L’Afem propose également  des services, comme des formations en développement personnel, en management, en transformation digitale, ainsi que des missions d’affaires à l’étranger.

L’association  peut aussi fournir aux femmes cheffes d’entreprise des informations sur les programmes d’appui aux entreprises – qu’ils soient nationaux ou internationaux, menés notamment dans la filière agroalimentaire par l’Organisation des Nations unies pour le développement de l’industrie (Onudi).

l’Afem a su fédérer les compétences et remporter l’adhésion d’un nombre important de femmes leaders et de partenaires nationaux et internationaux. Elle compte aujourd’hui 600 membres, 7 antennes régionales et 6 incubateurs au féminin labellisés « Maroc Pionnières ».

Ces pionnières ont créé plus de 300 entreprises, principalement dans les services, 80 % des entreprises fondées par des femmes opèrent dans le secteur tertiaire.

L’Afem se positionne comme centre névralgique et porte-drapeau de l’entreprenariat féminin au Maroc.

Vers une meilleure équité sociale ?

La société reste patriarcale, mais les mentalités évoluent. Le fait que des femmes dirigent des entreprises s’est banalisé. Le nouveau statut d’auto-entrepreneur, entré en vigueur en 2015, remporte un vif succès : 47 % des personnes qui se font enregistrer sont des femmes.

Par ailleurs, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), la principale organisation patronale, dont l’Afem est membre, est dirigée par une femme, Miriem Bensaleh-Chaqroun. Elle  est  l’une des fondatrices de  l’Afem et figure parmi les « 25 femmes les plus influentes du business en Afrique », selon le journal Jeune Afrique.


Pour Convergence
Pascale Landriq


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La légendaire Ferrari F40 vient de fêter ses 30 ans

Il y a 30 ans, le 21 juillet 1987, la Ferrari F40 était officiellement présentée au Centro civico di Maranello, où se trouve aujourd’hui le Musée Ferrari.
Ce véhicule de légende, construit sous l’œil attentif d’ Enzo Ferrari pour célébrer le quarantième anniversaire de l’écurie, est la dernière création du Commendatore, âgé alors de 90 ans. 
Enzo avait prévenu l’assemblée lors de la révélation “c’est la meilleure des Ferrari”.

Développée en l’espace de seulement 13 mois, la F40 revendiquait le titre de voiture la plus rapide, la plus puissante et la plus chère de l’histoire de l’automobile.

Aujourd’hui encore, elle suscite une véritable admiration. “La société avait caché le développement et l’essai de cette voiture dans un secret inhabituel.” relate Ermanno Bonfiglioli, chef des projets spéciaux Ferrari.

La carrosserie fut réalisée en matériaux composites, kevlar, aluminium, fibre de carbone et plexiglas, pour les vitres.

Dotée d’un châssis inédit, elle embarquait sous son capot arrière un V8 biturbo de 478 ch conçu en magnésium (plus léger), dérivé de celui qui équipait le prototype 288 GTO Evoluzione. Cette motorisation, associée à un poids limité (1 100 kg) et à une aérodynamique optimisée, lui permit de franchir la barre des 320 km/h (0 à 100 km/h parcouru en 4,1 secondes), une première pour un modèle Ferrari de production.

Le design de la F40, signé par Leonardo Fioravanti, designer de Pininfarina, avec l’aide de son collègue Aldo Brovarone, chargé de l’aileron et des célèbres prises d’air NACA, placées sur les ailes arrière du véhicule, contribuèrent à la réussite de sa silhouette aux lignes indémodables.

Entre 1987 et 1991, la F40 fut produite à 1311 exemplaires alors qu’il n’en était prévus que 400 au départ.

Sa cote est d’environ 800.000€, aujourd’hui.

Ferrari en chiffres :

La zone que l’on appelle EMEA, Europe, Moyen-Orient et Afrique reste sur la plus haute marche du podium des ventes avec pas moins de 3610 véhicules vendus en 2016, une hausse de 8% par rapport à l’année précédente. La France fait encore mieux avec une hausse de 12%, soit 235 ventes dans l’Hexagone l’an dernier !

L’Amérique (États-Unis, Canada…) arrive en seconde position avec 2687 Ferrari vendues l’an dernier, à peine plus qu’en 2015.

Le chiffre d’affaires de la marque a progressé de 8,8% sur un an pour atteindre 3,1 milliards d’euros. Le résultat d’exploitation s’élève lui à 880 millions d’euros, en hausse de 28,3% en 2016.

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Pascale Landriq

Le bonheur au travail, bientôt une priorité pour les entreprises ?

Les 6, 7 et 8 juillet derniers, le CNIT de La Défense accueillait l’Université du Bonheur Au Travail (UBAT). De nombreuses études et initiatives sont consacrées à ce thème. Le postulat est que des collaborateurs plus heureux seraient plus impliqués et plus efficaces. Le bonheur au travail serait-il devenu l’une des priorités du management ?
Peut-on quantifier le bonheur et en mesurer les effets sur la rentabilité de l’entreprise, et comment rendre les travailleurs plus heureux ?

La recette du bonheur d’un employé canadien, français ou allemand n’est pas la même, révèle une étude dévoilée récemment par le cabinet de recrutement Robert-Half. «Les employés canadiens se disent plus heureux au travail que les Français, les Belges et les Britanniques, mais moins heureux que les Américains, les Allemands, les Néerlandais et les Australiens ».

On retrouve pourtant un souhait universel : les employés veulent sentir que leur travail est important et que leur savoir-faire est reconnu, tout en étant entourés de collègues et de patrons qu’ils apprécient. Il ressort de cette étude que les gestionnaires pourraient sans doute améliorer les niveaux de bonheur dans leur entreprise en soulignant l’apport des employés et en s’assurant que ceux-ci comprennent leur implication dans la réalisation des objectifs de l’entreprise.

Un nouveau métier : Chief Happiness Officer (CHO) ou Responsable du bonheur en entreprise :

Né dans la Silicon Valley, il commence à se développer en France. Si la fonction suscite de la curiosité et parfois un peu d’incrédulité, le Chief Happiness Officer occupe pourtant des fonctions concrètes soumises à objectifs.

On compte actuellement en France 434 CHO en poste inscrits sur  LinkedIn.

L’université du bonheur et « Fabrique Spinoza » :

L’université du bonheur est née d’un think tank du bonheur citoyen baptisé « Fabrique Spinoza ».

Ce think tank économique et politique a pour mission de redonner au bonheur sa place au cœur de notre société. Il est notamment organisateur des premières Master Class à l’Ecole Centrale Paris sur le thème de l’Entreprise Positive, une entreprise performante économiquement via le bien-être de ses collaborateurs.

Pour convergence

Pascale Landriq

JO Paris 2024 ou 2028, quelles seront les véritables retombées économiques ?

Paris et Los Angeles sont désormais assurées d’organiser les jeux olympiques en 2024 ou 2028. Le 13 septembre prochain, nous serons fixés sur l’ordre d’attribution des deux villes.
Au delà du prestige et de la mise en lumière évidents que suscite l’évènement et de ses retombées médiatiques, quelle en sera la portée économique ?

Une ville et un pays sous le feu des projecteurs :

Les JO constituent l’évènement sportif le plus populaire et le plus médiatisé. Près de 25 000 journalistes seront présents alors que le monde entier aura les yeux rivés sur les compétitions et sur la ville hôte, qui accueillera environ 200 délégations olympiques pendant deux semaines.

Pour elle et pour le pays, les olympiades constituent une occasion de rayonner et de soigner ses relations diplomatiques, de promouvoir l’innovation, l’ouverture et la modernité.

Quel en est le prix à payer ?

On table à Paris sur un budget de 6,2 milliards d’euros, une candidature à moindre coût en réutilisant un maximum d’infrastructures déjà financées voire existantes.

Le Comité exige de la ville hôte qu’elle ait 42 000 chambres d’hôtels disponibles pour accueillir les visiteurs et plus de 10 000 athlètes sont attendus.

La ville qui héritera des JO-2024 devrait en outre recevoir une compensation financière du CIO (Comité International Olympique) de 1,7 millions de dollars US.

Le retour sur investissement est-il évident ?
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Retombées économiques des JO Paris, les différents scénarios du CDES
Les experts du Centre de droit et d’économie du sport (CDES) estiment l’impact économique des JO 2024 entre 5,3 et 10,7 milliards d’euros,  selon 3 scénarios possibles. Le scénario médian s’établirait à 8,1 milliards. Le tourisme devrait bénéficier d’entre 27% et 35% des retombées (entre 1,4 et 3,5 milliards d’euros). Le secteur de la construction devrait lui gagner de 1 à 1,8 milliard, la palme revenant à l’ensemble des partenaires qui contribuent à l’organisation des Jeux, qui  pourrait arriver en tête des secteurs bénéficiaires, avec 2,9 à 5,4 milliards d’euros de retombées positives.

Rendez-vous dans quelques années pour vérifier que les Jeux en valaient bien la chandelle !

Pour Convergence,

Pascale Landriq

Maroc : « Atlantic Free Zone », la plus grande zone franche d’Afrique à trois heures des capitales européennes

La zone franche « Atlantic Free Zone » est une plateforme attractive, aux atouts multiples située dans la ville de Kénitra, à seulement 40 km de Rabat. Connectée par autoroute et voie ferrée aux principaux ports du pays (Casablanca et Tanger) et au principal aéroport international (Casablanca), c’est un emplacement idéal pour les entreprises qui sont intéressées par l’ implantation de leur centre logistique ou de production au Maroc.

Atlantic Free Zone est l’une des premières plateformes intégrées de dernière génération, réalisée dans le cadre du Pacte National pour l’Emergence Industrielle* et l’une des plus grande du continent africain (prochainement détrônée par celle de Djibouti, en projet).

Avec ses 345 hectares de superficie totale dont 198 hectares bénéficient du statut de zone franche, AFZ est principalement dédiée au secteur automobile et électronique, à l’export, à la logistique industrielle et aux services de support à l’industrie (maintenance, bureaux d’études, centres d’affaires, etc.).

La plateforme a déjà séduit plusieurs entreprises de renom qui s’y sont implantées dont des leaders mondiaux comme : Saint Gobain, Delphi, Hirschmann, Coficab, Sews, Fujikura, Lear…et dernièrement, PSA Peugeot Citroën.

Atlantic Free Zone bénéficie de mesures fiscales et douanières attrayantes :

  • une exonération de l’impôt sur les sociétés pendant les 5 premières années d’activité et un taux à 8,75% pour les 20 années suivantes.
  • Une exonération de la TVA et des droits de douanes et une simplification des procédures douanières
  • Le libre rapatriement des bénéfices et des capitaux.

Une multitude de services sont en outre prévus pour offrir des conditions optimales de compétitivité aux entreprises désireuses de s’y implanter :

  • Des bâtiments clés en main, en vente ou location à travers des foncières.
  • Des services d’exploitation (maintenance des infrastructures, sécurité, gestion des déchets, etc.).
  • Des services généraux (télécoms, restauration, banque, station-service, hôtel, etc.).
  • Des services « business » (business center, support au recrutement, etc.).
  • Un guichet unique administratif.
  • Une offre de formation in situ.

*Le pacte national pour l’émergence industrielle est un programme de développement de l’industrie au Maroc, signé le 13 février 2009 à Fès, il vise à faire du Maroc une plateforme d’investissements industriels.


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Pascale Landriq


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