S’il n’existe pas de formule magique pour améliorer le Bien-Être au Travail (BET), il reste pourtant un outil de performance indispensable.
Voyons quelles solutions les entreprises mettent en œuvre, de l’intelligence artificielle en passant par la nomination d’un Chief Happiness Officier (CHO), la proposition de séances de yoga ou de consultations d’ostéopathes pour proposer du bonheur à leurs collaborateurs.
Certains managers et RH ont fait le pari de l’Intelligence artificielle pour améliorer l’engagement des salariés en utilisant par exemple Bleexo, une solution Saas mise au point en 2017 par Stéphane Waller et son équipe à Toulouse. Les salariés vont recevoir chaque semaine un questionnaire qu’ils vont remplir en moins de 2 minutes : des affirmations leur seront proposées et le collaborateur y répondra en fonction d’une échelle allant de tout à fait d’accord à pas du tout d’accord. Les réponses qui restent anonymes sont analysées par la plate-forme avec la volonté d’aider les managers et les RH à corriger les problématiques d’engagement au travail.
Quinze start-up réunies sous la bannière HappyTech ont décidé quant à elles d’œuvrer pour diffuser la notion de bien-être au travail. Fédérées sous un label, elles proposent un catalogue de solutions, et un annuaire des jeunes entreprises du secteur. Elles ont rencontrés plusieurs fois Muriel Pénicaud, la ministre du Travail.
On voit aussi de plus en plus fleurir une nouvelle fonction dans les entreprises : le CHO (Chief Happiness Officer) dont le rôle est de veiller à améliorer la QVT (Qualité de Vie au Travail) des entreprises. Au service des salariés et responsables de leur bonheur, ils œuvrent pour créer un environnement bienveillant et inspirant, fédérer les équipes et libérer les énergies.
D’autres choisissent de soigner et de prévenir en cherchant à éviter les troubles liés aux particularités des postes de travail tels que tensions au cou, maux de tête, sensation de brûlures aux yeux, vision brouillée…
L’absentéisme, les journées non travaillées, la rotation du personnel entraînent des pertes sèches pour l’entreprise. Le mal-être en entreprise représente un coût estimé à 12 600 euros par salarié.
Les salariés, quant à eux sont confrontés à des phénomènes de bore out, de burn out, et assez fréquemment, de désengagement.
Quelles que soient les solutions retenues pour y remédier, le développement de la qualité de vie (QVT) au travail, passe par une véritable démarche holistique afin de faire levier sur la motivation des collaborateurs et de nourrir leur engagement.
Le bonheur au travail n’est peut-être pas une utopie mais bien un véritable objectif vers lequel ont intérêt à tendre les entreprises qui ambitionnent de se positionner parmi les plus performantes.
Pour Convergence
Pascale Landriq
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