Un entrepreneur se pose des questions simples mais majeures et ensuite essaie d’y répondre de manière pratique. Il combine et fait fructifier des savoirs faires, des compétences différentes pour réaliser son projet et obtient ou pas des résultats : produire de la richesse, combiner les facteurs de production pour produire du savoir, de la connaissance. Sa responsabilité est de la transmettre. Louis Bachoud nous l’explique avec sa sensibilité.
« Le poids des grandes régions du monde dans le commerce mondial des marchandises est très inégal. Europe 38%, Asie du Sud Est 24 %, Amérique du Nord 14 %, 23% pour le reste du monde dont moins de 9% pour l’Afrique et le Moyen Orient. Le commerce Nord/Sud et Sud/Sud reste sous -dimensionné avec le problème de la sécurisation des transactions d’achat ou de vente, en particulier sur l’axe Afrique-Méditerranée-Europe. Pour y répondre, un rappel des outils du commerce international (Incoterms 2020, Règles de l’origine ), les conseils de spécialistes pour les choix logistiques et de paiement, des approches nouvelles pour contourner le déficit de confiance »
Les écosystèmes d’affaires sont des communautés économiques composées de tout type d’acteurs qui interagissent entre eux : entreprises qui peuvent être clients, fournisseurs ou concurrents, individus, universités, centre de R&D, organisations intermédiaires, pouvoirs publics etc. Aujourd’hui, Une entreprise évolue au sein d’un ou plusieurs écosystèmes d’affaires. Pour réussir à s’imposer sur son marché, elle doit identifier les écosystèmes dans lesquelles elle veut s’insérer et s’ils n’existent les créer et les développer. Dans tous les cas, elle se doit de comprendre les logiques qui sous-tendent leur création, leur développement et leur fonctionnement .