Albert Académie, Expert du vidéo Learning pour Dirigeants

albert académie est une plateforme en ligne de plus de 350 vidéos pédagogiques de courte durée illustrant 50 thématiques centrées sur le monde de l’entreprise et des dirigeants et illustrées par des experts de haut niveau. albert académie vous offre des ressources pédagogiques de haut niveau pour votre propre développement personnel ou vos projets professionnels.

Retrouvez albert académie sur Convergence http://www.convergence.link/fr/partenaires

L’équipe Community Management

Central Test, Expert des Tests de Recrutement en ligne

CENTRAL TEST conçoit des solutions d’évaluation psychométrique dédiées à l’identification des

potentiels pour les organisations lors des processus de recrutement, mobilité interne, développement des compétences, formation et rétention des talents et pour les individus, des tests d’orientation et de développement personnel.

Vous accédez à une gamme unique de TEST de recrutement et de personnalité, conçus par un acteur leader du marché, et  disponibles en temps réel au moment ou vous le souhaitez.

Retrouvez Central Test sur Convergence http://www.convergence.link/fr/partenaires

L’équipe Community Management

Stratégie partenariale sur le web : Pourquoi faire ?

Les stratégies partenariales à mettre en œuvre sur le web sont essentielles, elles doivent être aussi simples à mettre en œuvre et pour cela, il est crucial de bien choisir ses partenaires. Quelques critères simples doivent selon nous être retenus pour choisir ses partenaires quelque que soit l’objet du partenariat.  Le 1er critère est l’existence d’enjeux communs entre les partenaires. Il s’agit ici de vérifier que les 2 partenaires partagent des valeurs, des objectifs, des ambitions ou des causes communes. Deuxième critère majeur : Des activités complémentaires, globalement non concurrentes et qui peuvent enrichir les offres respectives des partenaires et augmenter leur valeur ajoutée (plus d’informations, de visibilité, de services…)

Troisième critère : des synergies concrètes entre les partenaires : échange de visibilité, de contenus, accords d’affiliation, prescription, co-branding, partenariat de marque blanche, actions avec logique de réciprocité le cas échéant et quand cela est pertinent et des projets concrets à mener ensemble comme des événements, des actions communes de sensibilisation.

Quatrième critère : des besoins à satisfaire ensemble le cas échéant

Sur les marchés ciblés par le 1er partenaire et pour lesquels le 2ème partenaire est facilitateur ou contributeur et réciproquement

Cinquième critère : une volonté commune d’avancer, fondée sur une confiance et une proximité de vue entre les partenaires

Jean-Pierre MARIACCIA

Consultant en Management et Président Co fondateur de Convergence

Convergence, une réponse aux besoins de visibilité professionnelle dans la zone Europe – Méditerranée- Afrique

Vous le savez, Internet et les dernières versions des réseaux sociaux, mettent en avant l’humain, l’individu. C’est par ce biais que les réseaux grand public et professionnels se sont développés. Que ce soit FB ou Linkedin (et les autres), tout passe par : comment je me présente en tant qu’individu, comment puis-je dire des choses et être “entendu” et “écouté”, comment puis-je “prendre” des choses et les partager, les commenter etc…

Les Réseaux sociaux ont atteint une taille critique et proposent de travailler la notion de communautés ouvertes ou fermées (son propre réseau, la création de groupes, du “sujets” de conversation…), mais c’est insuffisant pour permettre à chacun d’entre nous de percer l’écran professionnel ou de trouver le bon contact, la bonne info, la bonne opportunité en particulier sur toute la verticale Europe/Méditerranée/Afrique

Il fallait donc une nouvelle génération d’outils pour prendre en compte les contraintes, et les nouveaux besoins des entreprises et des individus.

Convergence a pris en compte dès le début à la fois ces contraintes, les besoins des entreprises et des individus pour proposer une plateforme unique où un particulier en son nom ou au nom d’une l’entreprise peut se présenter, communiquer, solliciter, évaluer pour développer des relations en vue de la génération de business pour l’entreprise MAIS aussi de développement d’opportunités pour accélérer sa carrière (en tant que salarié, indépendant, candidat, freelance etc…).

Convergence est ainsi une plate-forme unique qui propose les mêmes fonctionnalités aux particuliers et aux entreprises avec le « compte entreprise » et le « compte particulier »: c’est à ce titre une exclusivité que les autres Réseaux sociaux ne proposent pas, ou alors uniquement sous des modalités payantes).

Convergence a l’ambition de connecter le Monde à la zone Euro Méditerranée et d’être la plateforme qui agrège, hiérarchise les opportunités d’affaires et RH et labellise les expertises au service de tous les acteurs de la zone Europe Méditerranée en un seul lieu virtuel. Convergence veut être un accélérateur d’opportunités, de business et de carrière.

Convergence adresse aussi des enjeux mondiaux : rapprochement des acteurs, développement économique,  employabilité… et via des modalités opérationnelles maîtrisées par tous (plateforme web), qui libèrent des contraintes de l’intermédiation traditionnelle et qui sont largement accessibles économiquement.

Ce qui différencie Convergence de ses concurrents directs, c’est son positionnement stratégique (1ère Plateforme Ciblée sur la zone Euro Méditerranée et qui répond explicitement au double objectif carrière /business, enjeux majeurs du développement économique), un accès à une communauté pré qualifiée (via un système de parrainage de pré qualification et de labellisation des contenus mis à la disposition des utilisateurs : présélection et labellisation des information, profils, affaires, services, contacts…)

Chacun peut s’inscrire à la beta privée de Convergence sur www.convergence.link  avec le code BETA2017 encore quelque jours. Chaque personne inscrite avec ce code, sera invitée à la version BETA privée totalement gratuite. Comme l’indique Jean-Pierre MARIACCA, CEO de Convergence, «  C’est le moment de remplir son profil pour être visible de la part de partenaires ou de recruteurs potentiels basés en Europe, en Afrique ou même ailleurs et qui ont besoin de vous ; soyez visibles dès maintenant sur Convergence et restez connectés !»

L’équipe Convergence

L’enjeu économique pour Macron : faire valser les étiquettes !

Il faut arrêter de juger les mesures en termes de « de gauche » ou « de droite ». L’élection de Macron donne une chance de dépasser cette approche et de se poser simplement la question de savoir si la mesure est favorable ou non à l’économie française et par ricochet à l’Europe entière et aussi à tous les pays de la zone Euro- Méditerranée-Afrique.

On dit « gai comme un pinson »

Un pinson n’est ni gai, ni triste

Il est gai quand il est gai

Il est triste quand il est triste

Jacques Prévert

 

Quand on regarde la France depuis l’étranger et en particulier depuis tous les pays de l’Europe, de la Méditerranée et de l’Afrique, il apparaît assez vite que le véritable défi auquel M. Macron sera confronté, est bien résumé dans sa base-line « et gauche, et droite »

Qu’est-ce qui caractérise en effet la réaction des Français face à une nouvelle mesure ou un nouveau dispositif ayant trait à l’économie ? Compte tenu d’une méconnaissance savamment entretenue dans le domaine (à quand une épreuve d’économie pour tous au bac, plutôt que celle de philosophie ?) et du manque habituel de pédagogie de tous les gouvernants en la matière, toute mesure sera en fait jugée en fonction d’une étiquette : est-elle de droite ou de gauche ? Juste un exemple illustratif : les stock-options. Etes-vous pour ou contre ? et la voix de l’opinion répond oui ou non, le plus souvent en n’ayant qu’une connaissance toute relative du mécanisme… et comme si une telle réponse simpliste pouvait suffire : j’ai moi-même écrit ici que j’étais un partisan acharné des stock-options pour les nouvelles entreprises et un opposant tout aussi acharné de ce système dans les entreprises déjà cotées en Bourse.

Or, tout comme le pinson de Prévert, une mesure n’est ni de gauche, ni de droite ; elle est favorable au développement économique ou elle ne l’est pas ! Ce clivage artificiel a conduit d’ailleurs, au moins en partie, au rejet des partis politiques traditionnels : entre une mesure bonne (électoralement) pour le parti mais mauvaise pour le pays et une mesure bonne pour le pays mais électoralement peu payante, le choix a toujours été vite fait (sauf quand il n’y avait plus aucun espoir pour les élections : voir Mitterrand en 1984) ; d’où le sentiment de « trahison » quand, face au mur de la réalité, lesdites mesures n’étaient pas mises en place. D’où aussi retards, erreurs, incommunicabilité… générant insatisfaction, trouble et, surtout, inefficacité. Un seul exemple y suffira : celui de la « TVA sociale ».

Souvenons-nous du débat Borloo-Fabius dans la campagne des législatives de 2007, qui a permis à ce dernier d’afficher sa fierté d’avoir bloqué cette mesure « antisociale ». Moyennant quoi, arrivant au pouvoir en 2012, le gouvernement socialiste s’est (enfin ?) rendu compte que c’était une mesure nécessaire ; mais, ne voulant pas se déjuger, il a institué le CICE, un « Canada Dry » de TVA sociale, qui n’en avait ni l’universalité, ni la simplicité, ni les effets immédiats. Moyennant quoi, aux années perdues après 2007, il a fallu rajouter encore quelques années, le temps de comprendre comment ça marche et que la mesure fasse ses effets. Tout ce temps perdu, en plus sur fonds de polémiques : contrairement à la TVA sociale, le CICE apparaissait comme une niche fiscale, donc comme un « cadeau » aux entreprises, ce dont se sont emparés ceux qui voulaient critiquer le gouvernement, traquenard dont le gouvernement socialiste n’a jamais réussi à se sortir, compte tenu des prises de position antérieures de ses membres.

On pourrait multiplier ces exemples : le gouvernement se félicitant de l’amélioration du déficit de la Sécurité Sociale… amélioration quasi-entièrement due au redressement de la branche vieillesse suite à la décision de repousser l’âge de la retraite… décision qui avait été ardemment combattue par les membres de ce même gouvernement quand ils étaient dans l’opposition. Et, au vu de ces exemples,  qu’on ne croit pas que seule la gauche se caractérise par ce type de contradiction ; la droite en est, elle aussi, largement coutumière (voir ses contorsions au moment du vote de la « loi travail »).

Alors, certes, ne rêvons pas trop vite de gouvernement d’union nationale : contrairement à l’Allemagne, ce type de comportement ne fait pas partie de l’ADN de la France ! Mais, c’est là où la tentative de Macron se révèle intéressante : c’est de considérer que mesure par mesure, projet par projet, des « hommes de bonne volonté », de gauche et de droite, seront capables de surmonter des positions idéologiquement binaires pour agir ensemble dans l’intérêt globalement positif de la communauté, en combattant la politique des slogans par un effort continu de parole vraie, de pédagogie et de conviction.

Est-ce un rêve ? C’est possible… mais c’est tout le défi que devra relever Macron. Mais, hommes et femmes politiques, attention ! si ce défi n’est pas relevé, c’est l’étiquette « tous pareils » qui vous restera attachée, faisant place à tous les errements populistes et démagogiques et à leurs dangers !

 

Georges Fischer- Expert International- Associé Convergence

Flexibilité du travail, Emploi, Salaires, Fiscalité, … Comparez le programme !

Les thèmes de la flexibilité du travail et tous les sujets corollaires parmi lesquels les salaires, l’emploi, la durée du travail, la fiscalité, s’ils n’ont toujours été au cœur de la campagne pour les élections présidentielles, n’ont sont moins pas des sujets importants voire centraux dans les programmes présentés par les candidats à l’élection présidentielle française.  Retrouvez ci-après un comparatif des programmes des candidats sur 6 thèmes clés. Parmi les programmes examinés, ceux de François FILLON (FF), Marine LE PEN (MLP), Emmanuel MACRON (EM) , Jean-Luc LELENCHON ( JLM) et Benoît HAMON ( BH).

La loi sur les 35H

Il y a un candidat qui veut la supprimer (FF), deux qui veulent la maintenir ( EM, MLP) et 2 qui veulent la renforcer ( BH et JLM). A noter que  JLM propose parmi ses mesures phare la 6ème semaine de congé payé et l’organisation d’une grande conférence sur le partage du temps de travail.

Le droit du travail

FF et EM veulent rénover le contrat de travail avec la création d’un contrat de mission à durée déterminée (FF) et limiter le risque de licenciement pour les entreprises avec la création de plafond et de plancher pour les indemnité prud’homale ( FF et EM) Les programmes de BH et JLM réaffirme le CDI comme le contrat de référence et veut interdire les « licenciements boursiers »

Les salaires

Les programmes de FF et d’EM sont centrés vers la réduction des charges pour les salariés, les entreprises, alors que les programmes de MLP, BH et JLM s’orientent vers une revalorisation des revenus pour les plus modestes. A noter la mesure phare de Benoit Hamon de revenu universel et celles de JLM (Hausse du SMIC du 16% pour 35H et la limitation des hauts revenus dans les entreprises à 20 fois le  salaire minimum)

Les charges sociales et fiscales

FF propose un allègement des charges de 25 milliards d’euros pour les entreprises financé par une hausse de 2 points de la TVA. EM veut réduire les cotisations de 6% en remplacement du CICE. MPL veut réduire les charges sur les TPE/PME. BH veut créer une contribution robot qui abondera un fonds de transition du travail tandis que JML veut un grand audit de la réduction des charges.

Le chômage

FF laisse aux partenaires sociaux le soin de négocier mais prône une dégressivité des allocations chômage et un renforcement des sanctions. EM veut instaurer une couverture universelle de l’assurance chômage s’appliquant à tous (salariés indépendant). MLP, BH sont pour le status quo tandis que JLM veut un droit opposable à l’emploi pour tous.

La sécurisation des parcours professionnels et la formation

Sur cette question, les programmes sont assez similaires et prennent acte que le système actuel distinguant salarié/indépendant devient obsolète et prônent une meilleure sécurisation des parcours professionnels passant par l’individualisation, les dispositifs de flexisécurité et un renforcement du contrôle de la formation professionnelle.

L’équipe Community Management

 

PS nous renvoyons nos lecteurs aux différentes analyses et comparatifs parus dans la presse française et internationale pour plus de précisions

S’inscrire à la newsletter