E-RH : Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés par les recruteurs ?

Une étude sur le marché de l’emploi a été menée en fin 2015 par « RegionsJob » pour déterminer quels outils les recruteurs ont tendance à utiliser pour recruter.

Dans le classement des réseaux sociaux les plus utilisés par les recruteurs, nous retrouvons LinkedIn en tête (79 %), suivi de Facebook (26 %) et Twitter (14 %).

Les utilisations sont différentes selon les réseaux sociaux : par exemple, LinkedIn est principalement utilisé pour faire de la recherche de candidats (95 %), prendre contact avec eux (95 %), faire du sourcing (93 %) et poster des offres d’emploi (92 %).

Sur Facebook, la première utilisation des RH est d’examiner le profil des candidats (67 %) mais aussi animer la marque employeur (59 %), faire de la cooptation (51 %) et publier des offres d’emploi (48 %).

Pour le réseau social Twitter, on retrouve à peu près les mêmes utilisations que sur Facebook : animation de la marque employeur (95 %), publication des offres d’emploi (95 %), cooptation (93 %) et sourcing (93 %).

Emploi: Un crédit d’impôt pour les associations dès le 1er janvier 2017

Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé vendredi dernier la création au 1er janvier 2017 d’un crédit d’impôt pour les associations, afin de diminuer le coût du travail dans ces structures qui ne bénéficient pas du crédit d’impôt compétitivité emploi CICE.

Ce « crédit d’impôt de taxe sur les salaires » sera proposé par l’intermédiaire d’un amendement parlementaire au projet de budget 2017, a annoncé le premier ministre Vendredi à Matignon.

Selon le journal « la tribune », La France compte environ 1,3 million d’associations qui emploient 1,8 million de salariés, soit 10% des salariés du privé. Le nombre de bénévoles est estimé à 16 million. Grâce à ce crédit d’impôt, “les associations pourront bénéficier d’un nouvel allègement de la taxe sur les salaires” pour les salaires “inférieurs à 2,5 smic, soit environ 3.600 euros bruts cette année”

“Cet effort exceptionnel représente 600 millions d’euros de baisse de charges supplémentaires pour les associations, les fondations et les structures de l’économie sociale et solidaire”, a précisé M. Valls. “Au total, elles bénéficieront ainsi de 1,2 milliard d’euros d’allègements de la taxe sur les salaires, dès le 1er janvier 2017”.

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Entrepreneuriat : Les 4 bonnes raisons de créer une entreprise

Convergence vous propose 4 bonnes raisons de lancer votre start-up :

  • Relancer sa carrière

Entreprendre peut se révéler comme la solution à bien des situations difficiles dans le domaine professionnel. Développer son réseau et multiplier ses contacts favorise les opportunités. Vous aurez l’occasion de vous faire connaitre rapidement grâce à votre projet.

  • Augmenter ses revenus

Non seulement vous serez votre propre patron, mais vous pourrez également décider de votre propre salaire. Augmenter ses revenus fait partie des motivations d’entreprendre les plus fréquentes.

  • Faire ce que vous aimez

Plutôt qu’occuper un poste que vous n’appréciez pas vraiment, vous pourrez avec votre entreprise choisir une activité qui vous plaira et qui rendra votre vie professionnelle beaucoup plus agréable.

  • Partager votre amour du métier

Entreprendre est le rêve de toute personne ambitieuse, exercer le métier qui vous passionne vous rapprochera du succès. Aux débuts de votre activité vous ne pourrez compter que sur votre passion pour convaincre vos clients, fournisseurs et salariés d’avoir confiance en vous.

 

Angela Merkel devrait être en visite officielle au Maroc début 2017

La chancelière allemande Angela Merkel devrait effectuer une visite officielle au Maroc. Elle l’a confirmée au roi Mohammed VI lors d’un entretien téléphonique le 28 septembre dernier sur la question de la politique migratoire.

Lors de cet entretien, le Maroc « s’est engagé à optimiser et à rationaliser la gestion des flux migratoires » indique un communiqué du cabinet royal relayé par l’agence de presse MAP. Mohammed VI a par ailleurs invité la chancelière allemande à « effectuer une visite officielle au Maroc début 2017 », invitation à laquelle Mme Merkel aurait répondu favorablement d’après le cabinet royal.

Quelques semaines après les multiples agressions qui avaient eu lieu à Cologne la nuit du 31 décembre, les deux dirigeants s’étaient déjà entretenus sur la question des migrants. Des migrants, parmi lesquels certains étaient Marocains, ont été accusés d’abus sexuels sur des dizaines de femmes. Mohammed VI et Angela Merkel avaient convenu « d’étudier rapidement les dossiers des personnes en séjour illégal et de procéder au transfert vers le Maroc des personnes en situation irrégulière ». Leur dernier coup de fil a permis a donné l’occasion au souverain marocain de donner « ses hautes instructions pour un déplacement en Allemagne du ministre de l’Intérieur et d’une équipe d’experts de ce département pour accélérer l’identification et le rapatriement des ressortissants marocains concernés par cette opération ».

Le Maroc annonce sa participation au congrès international du Caire.

Placé sous le thème «La culture populaire arabe, visions et changements», ce congrès aura lieu du 11 au 13 Octobre au Caire. Il verra la participation de 100 penseurs, chercheurs et spécialistes issus de 15 pays arabes, dont la Jordanie, le Bahreïn, la Tunisie, l’Algérie, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis (EEAU), le Soudan, la Syrie, l’Irak, la Palestine, le Liban, la Libye, le Yémen, l’Egypte ainsi que le Maroc.

D’après le journal Marocain « le matin », il sera Initié par le Conseil supérieur de la culture, ce congrès est une opportunité pour les participants de débattre de plusieurs sujets, dont un premier axe portant sur le thème  «Les racines et les caractéristiques communes de la culture populaire arabe», et spécialement sur «Les origines et les sources des cultures populaires arabes», «La culture populaire arabe et le multiculturalisme», et «Les points de convergence et de divergence caractérisant les composantes de la culture populaire arabe».

Dans un second temps le 2e axe concerne les questions de «l’identité arabe et les changements mondiaux», «la culture populaire arabe : le dialogue avec l’autre et les exigences de la démocratie», «la culture populaire arabe : la paix et la tolérance pour faire face à la violence», et «la culture populaire arabe : le développement cognitif et technique».

Le 3e axe sera dédié, entre autres, à des questions ayant trait à «La culture populaire arabe et les valeurs humaines», «La culture populaire et la liberté de création», et «La culture populaire, l’unité nationale et l’appartenance».

Pour clore le débat, une réflexion sera apportée autour de  «la culture populaire et la jeunesse contemporaine», «La place de la culture populaire dans le mouvement intellectuel et artistique aux échelons local et international» et «La culture populaire et le dialogue des civilisations».

Expat : Le Qatar recule encore dans les classements en termes de qualité de vie

Le Qatar a perdu sept places dans l’étude d’HSBC Expat Explorer Survey 2016 qui interroge les expatriés sur leur qualité de vie dans différents pays du monde. L’émirat n’est plus que 29e sur 45 pays contre 22e sur 39 l’année dernière d’après le ressenti des 500 expatriés interrogés pour l’étude y résidant.

 

Une inquiétante instabilité sur les marchés du travail au Moyen-Orient

Cette année, les expatriés vivant au Qatar ont exprimé pas mal de réserves quant à l’augmentation du coût de la vie et l’inquiétante instabilité du marché du travail national. La « confiance en l’économie locale » qatari a chuté de 17 places, passant de la 4e à la 21e place depuis l’année dernière. L’actuelle insécurité de l’emploi dans le pays a fait fuir des milliers d’expatriés ces derniers mois suite à la chute des cours du pétrole.

Le Qatar n’est pas le seul dans ce cas. Les autres pays du Moyen-Orient ont aussi chuté dans le classement tels que Bahreïn et l’Arabie Saoudite (5 places), Oman (4), les Emirats Arabes Unis (3) ou encore le Koweït (1).

Une qualité de vie moins bonne pour une meilleure paye ?

En-dehors des considérations purement économiques, le Qatar est également considéré comme un endroit difficile pour les jeunes entrepreneurs (32e sur 45) ou même pour maintenir un bon équilibre entre travail et temps libre (25e).

Par contre, les expatriés qui y vivent s’accordent sur le fait que le Qatar est le meilleur pays au monde où travailler si vous voulez économiser de l’argent. Le pays est également classé second pour ce qui est d’avoir un large salaire et de fréquentes opportunités d’augmentation.

La catégorie « expérience » ne donne en revanche pas une bonne image du pays avec de grosses difficultés pour s’intégrer à la population locale, et une hygiène de vie qui se dégrade largement par rapport aux pays d’origine des expatriés interrogés. Dans l’ensemble, les expats au Qatar concluent que leur qualité de vie est pauvre (le pays est classé 31e), même s’ils considèrent que le pays est globalement sans danger (10e) et que leurs finances y sont sûres (12e).

 

Un pays qui ne favorise pas les regroupements familiaux

Quant à savoir ce que les expats ressentent en emmenant leur famille avec eux au Qatar, eh bien globalement ils n’en sont pas ravis (le Qatar n’est que 36e). Le pays affiche tout de même des scores corrects en termes de protection des enfants (15e) et de santé de la famille (20e).

En tout cas, l’environnement qatari est relativement dissuasif lorsqu’il s’agit pour les expatriés de faire venir leur famille avec eux. Edd Brookes, directeur du cabinet immobilier DTZ Qatar, explique que les compagnies qataries préfèrent désormais louer de plus petites maisons voire des appartements pour leurs employés : les budgets s’orientent de plus en plus vers des besoins individuels et non plus comme il y a quelques années vers des packs familiaux. Autre obstacle : le gouvernement qatari requiert six mois de bulletins de paye pour les employés avant que ceux-ci ne puissent demander un permis de résidence pour leurs conjoint et enfants.

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